Critical issues for Channeling Climate Finance via Private Sector Actors - Briefing commandé par le UK Bond Development and Environment Group avec le soutien de Bretton Woods Project, CAFOD, Christian Aid, Tearfund, UNICEF UK, World Development Movement, mars 2013
Les décideurs politiques explorent actuellement des moyens d'encourager le financement du secteur privé pour l'action climatique dans les pays en développement, c'est-à-dire l'investissement dans des projets visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à renforcer les capacités d'adaptation aux impacts du changement climatique. Le partenariat public-privé (CP3) récemment lancé par le Royaume-Uni en est un exemple. L'utilisation de fonds publics pour mobiliser des financements privés est également une option envisagée pour allouer une partie des fonds acheminés par le biais du nouveau Fonds vert pour le climat, où une facilité pour le secteur privé est en cours de développement. Quels que soient la source et le canal du financement climatique, il est essentiel de s'assurer qu'un financement climatique adéquat et fiable atteigne les personnes les plus pauvres et les plus vulnérables, que ses impacts puissent être clairement évalués et surveillés, et que des garanties adéquates en matière de droits sociaux, environnementaux et humains lieu de protection des communautés bénéficiaires. Enfin, il doit y avoir une responsabilité claire envers le contribuable pour l'utilisation des fonds publics.
Ce document examine les preuves tirées de la canalisation actuelle du financement du développement et du changement climatique via des instruments du secteur privé afin d'identifier les risques et les avantages probables de telles approches. L'objectif de ce document est de stimuler le débat dans le contexte britannique.
Contact: Dr Sarah Wykes, Analyste principale - Environnement et changement climatique, CAFOD, swykes (at) cafod.org.uk
CAFOD est membre de la CIDSE en Angleterre et au Pays de Galles
Problèmes critiques pour canaliser la finance climatique via les acteurs du secteur privé