Banques et paradis fiscaux: «Mesdames et Messieurs les députés, bis uno sforzo! »- CIDSE

Banques et paradis fiscaux: «Mesdames et Messieurs les députés, encore uno sforzo! »

Il faut exiger des banques qu'elles public leurs bénéfices et leurs impôts par pays, selon notre organization membre française CCFD-Terre Solidaire.

Parigi, le 12 février 2013

En obligeant les banques à donner quelques information sur leur présence dans chaque pays (filiales, chiffre d'affaire, effectifs), la Commission des Finances de l'Assemblée nationale a mis un pied dans la porte. Mais si les députés veulent vraiment mettre à jour le stratégies d'évitement fiscal, il leur faut exiger des banques qu'elles public leurs bénéfices et leurs impôts par pays. C'est l'enjeu du débat qui s'ouvre aujourd'hui.

La Plate-forme paradis fiscaux et judiciaires juge incoraggageant l'amendement adopé par la Commission des Finances de l'Assemblée nationale, il 6 febbraio 2013, qui oblige les banques à dévoiler leur présence, leur chiffre d'affaires et leurs effectifs pays par pays . Pour la première fois, les députés reconnaissent qu'établir une new list de paradis fiscaux, esercizio éminemment diplomatique, ne suffirait pas à combattre efficacement les trésors d'imagination déployés par les entreprises multinationales pour échapper à l'impôt. Pour la première fois, la charge de la preuve est inversée: il reviendra aux banques de s'expliquer sur leur présence dans chacun de leurs pays d'implantation, que celui-ci soit ou non reconnu comme un paradis fiscal.

A partir de ce jour (12 février 2013), la loi bancaire est débattue en séance plénière à l'Assemblée nationale. Le associazioni e i sindacati mobilitati contre i paradis fiscaux partecipano a désormais des députés, non seulement, qu'ils défendent l'amendement adopé, face au lobby bancaire, mais surtout qu'ils le renforcent. Car pour véritablement prévenir et traquer l'évasion fiscale, il manque deux informations clés: les bénéfices forçus et les impôts versés dans chaque pays. C'est grâce à ces données que l'on pourra mettre à jour et dissuader la délocalisation artificielle des profitti in pays à faible fiscalité, à l'origine du saccheggio des ressources publiques au Nord comme au Sud.

Plusieurs députés, emmenés notamment par Dominique Potier (PS) and Eric Alauzet (EELV), ont déposé des amendements en ce sens. Pierre Moscovici n'y semble guère favorevole, bien que ce soit une promesse du candidat François Hollande (1). Les banques elles non plus ne manqueront pas de s'élever contre ces propositions, invoquant le fait que ce serait trahir des secrets commerciaux. Comme si tutte le banques ne savaient pas que il Lussemburgo è il paradiso delle holding, le Bermude celui des captives d'assurances e le Îles Caïmans, le specialiste del leasing e degli hedge fund! Mais pourquoi certaines (2) publient-elles déjà partiellement ces informations par filiale?

La bataille qui s'engage aujourd'hui dans l'Hémicycle s'annonce rude. Derrière les organisation de la plate-forme paradis fiscaux et judiciaires, ce sont des million de citoyens here attendent que prevale la giustizia fiscale e la trasparenza finanziaria sugli interessi di quelques-uns. Les députés ont une occasion unique de ne pas les décevoir.

Un'azione organizzata dall'iniziativa delle collezioni «Sauvons les Riches», «Roosevelt 2012» e «Plate-forme paradis fiscaux et judiciaires» le mercredi 13 février à 12h30 devant l'Assemblée nationale (Rdv place Edouard Herriot, M ° Assemblée nationale). La Brigade Antiterrorisme Financier (BAF) recrutera des députés volontaires pour réguler les banques. Opportunités foto, video e interviste.

Contatti:

CCFD-Terre Solidaire
Karine Appy
01 44 82 80 67- 06 66 12 33 02

Note sulle transazioni:

(1) Courrier de François Hollande au CCFD-Terre Solidaire, 5 aprile 2012: «C'est pourquoi je suis favorevole à ce que les grandes entreprises cotées en France public leurs comptes détaillés pays par pays, quel que soit leur secteur d ' activité (…). »

(2) Par., Société générale, Natixis, Crédit agricole.

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