Adoption Global Strategic Framework heralds new era in fight against hunger – CIDSE

Adoption Global Strategic Framework heralds new era in fight against hunger

Adoption Global Strategic Framework heralds new era in fight against hunger, CIDSE – Catholic development agencies says (Available in EN-ES-FR)

CIDSE news release – for immediate release, 18/10/2012

(Rome, 18/10/2012) CIDSE welcomes the adoption of the Global Strategic Framework (GSF) of the Committee on World Food Security (CFS) on 17 October 2012 in Rome, Italy. The GSF is an overarching framework to help coordinate and ensure coherence in global decision making on food and agricultural issues. If put in practice effectively, the new framework can provide new hope for the world’s most food insecure people, says the international alliance of Catholic development agencies.

CIDSE Food Policy Officer Gisele Henriques commented from Rome:

With the adoption of the GSF we enter a new era in global decision making on food, agriculture, and nutrition. We must refer to this framework for more coherent policies around the globe to ensure people’s right to food.

“This document, which civil society organisations had the opportunity to feed into during the negotiations, puts the human right to food at the center of policy and recognises the central role of smallholder farmers, artisanal fisher folks, pastoralists and indigenous people in achieving food security. It also emphasises the central role of women as food providers.”

CIDSE welcomed the GSF’s recognition of the potential of agro-ecology, which is at the heart of a new paper the alliance issued earlier in October. For CIDSE, more sustainable food systems which operate at a smaller scale are needed to feed the world in the midst of a changing climate, reducing emissions from agriculture and making food production more resistant to erratic climate.

Maureen Jorand of CIDSE’s French member organisation CCFD-Terre Solidaire regretted that food sovereignty did not make it into the adopted text:

Food sovereignty is currently not addressed, but civil society will continue to strive for its recognition. We believe the concept of food sovereignty should lead food security policies because it puts people themselves at the heart of policy decisions and orientations to ensure they respond to their needs and realities.”

While some states attempted to open agreed upon text during the negotiations, the GSF was adopted after a dynamic and inclusive discussion, including civil society. This is an important characteristic of the reformed CFS. The provisions of the new framework now need to be put in practice and mechanisms to hold States, intergovernmental institutions and the private sector accountable for their actions and omissions need to be strengthened. 

“Governments and intergovernmental bodies should now take the provisions of the GSF from paper to practice. From our side, we will use it to advance the right to food at local, national and international level. The GSF is a living document, and it is the responsibility of all actors involved to remain committed to keeping it alive and work together towards food security,” Henriques said.

Read the Statement of social movements and other civil society organizations on the Global Strategic Framework of the Committee on World Food Security (CFS)

Contact in Rome: CIDSE Food Policy Officer Gisele Henriques, henriques(at)cidse.org, +32 (0)485 144 640
Contact in Brussels: CIDSE Media and Comunication Officer Roeland Scholtalbers, scholtalbers(at)cidse.org, +32(0)477068384, +32(0)2 282 40 73

Notes to the editors:

  • CIDSE is an international alliance of Catholic development agencies. Its members share a common strategy in their efforts to eradicate poverty and establish global justice. www.cidse.org
  • CIDSE members: Broederlijk Delen (Belgium), CAFOD (England and Wales), CCFD – Terre Solidaire (France), Center of Concern (USA), Cordaid (the Netherlands), Development & Peace (Canada), Entraide et Fraternité (Belgium), Fastenopfer  (Switzerland), FEC (Portugal), FOCSIV (Italy), Fondation Bridderlech Deelen (Luxembourg), KOO (Austria), Manos Unidas (Spain), MISEREOR (Germany), SCIAF (Scotland), Trócaire (Ireland)
  • Agriculture: from Problem to Solution – Achieving the Right to Food in a Climate-constrained World, CIDSE guiding principles and recommendations, October 2012. Available in English, French and Spanish

Communiqué de presse CIDSE

 L’adoption du cadre stratégique mondial ouvre une nouvelle ère dans la lutte contre la faim, selon la CIDSE

(Rome, le 18/10/2012) La CIDSE se félicite de l’adoption du Cadre Stratégique Mondial (CSM) du Comité sur la Sécurité Alimentaire Mondiale (CSA) à Rome le 17 octobre 2012. Le CSM est un cadre global devant coordonner et assurer la cohérence des décisions politiques mondiales sur les questions agricole et alimentaire. À condition qu’il soit mis en œuvre de manière efficace, la CIDSE ( alliance internationale des organisations catholiques de développement) considère que ce nouveau cadre peut être source d’espoir pour les populations souffrant de la faim dans le monde.

Selon Gisele Henriques, chargée de plaidoyer à la CIDSE et présente à Rome:

“Avec l’adoption du CSM, nous entrons dans une nouvelle ère pour les décisions politiques sur l’agriculture, l’alimentation et la nutrition. Nous devons nous baser sur ce cadre pour favoriser la cohérence des politiques partout dans le monde et assurer l’application du droit à l’alimentation.

“Ce document, auquel les organisations de la société civile ont pu contribuer lors des négociations, place en son coeur le droit à l’alimentation et reconnaît que, pour atteindre la sécurité alimentaire, les petits producteurs, les artisans pêcheurs, les pastoralistes et les populations indigènes ont un rôle central. Il souligne également le rôle important des femmes pour la sécurité alimentaire.”

La CIDSE se félicite de la reconnaissance du potentiel de l’agroecologie dans le CSM, thématique également au cœur du dernier rapport de l’alliance sorti ce mois d’octobre. Pour la CIDSE, des systèmes alimentaires plus durables, opérationnels à petite échelle, sont déterminant pour alimenter le monde, alors que les impératifs du changement climatiques nous amènent à réduire les émissions issues des pratiques agricoles et à rendre la production alimentaire plus résistante aux variations climatiques.

Maureen Jorand, du CCFD- Terre Solidaire ( membre français de la CIDSE) regrette que la souveraineté alimentaire ne soit pas présente dans le texte adopté:

“La souveraineté alimentaire n’est pas mentionnée à ce jour dans le CSM, mais la société civile va continuer son combat pour sa reconnaissance.  Nous estimons que le concept de souveraineté alimentaire devrait orienté l ensemble des politiques de sécurité alimentaire; il place les populations au cœur des orientations et décisions politiques afin de s’assurer qu’elles répondent à leurs besoins et à leur réalité.”

Le CSM a été adopté après une discussion dynamique et inclusive avec la participation de la société civile, et ce malgré la tentative de certains états de réouvrir la discussion sur certaines parties déjà approuvées.  Ce cadre doit désormais être mis en œuvre, des mécanismes rendant les états, les institutions intergouvernementales et le secteur privé redevables de leurs actions et omissions doivent être renforcés.

” Les gouvernements et les organisations intergouvernementales doivent désormais passer des paroles aux actes. De notre point de vue, ce sera un outil important pour faire progresser le droit à l’alimentation à tous les niveaux, local, national et international. Le CSM est un document évolutif, et il en va de la responsabilité de tous les acteurs impliqués de le maintenir vivant et de travailler ensemble pour la sécurité alimentaire” rappelle Gisele Henriques.

Lisez la position des mouvements sociaux et des autres organisations de la société civile sur le Cadre Stratégique Mondial du Comité sur la Sécurité Alimentaire Mondiale (CSA)

Contact à Rome:  Gisele Henriques, chargée de plaidoyer Henriques(at)cidse.org, +32 (0)485 144 640, in Rome
Contact à Brussels: Roeland Scholtalbers, chargé de communication et des relations médias scholtalbers(at)cidse.org, +32(0)477068384, +32(0)2 282 40 73

Cidse celebra el comienzo de una nueva era en la lucha contra el hambre

El pasado 17 de octubre se aprobó en Roma el Marco Estratégico Mundial del Comité de Seguridad Alimentaria de la FAO que pretende coordinar y garantizar la coherencia en la toma de decisiones mundiales sobre cuestiones alimentarias y agrícolas.CIDSE celebra que este marco pueda devolver la esperanza a mucha gente.

CIDSE, Alianza internacional de agencias católicas para el desarrollo, presente en las reuniones celebra que, si este marco se pone en práctica con eficacia, puede devolver la esperanza a un gran número de personas que pasan hambre.

Gisele Henriques, Responsable de Política Alimentaria de CIDSE,  comentó desde Roma que “con la adopción de este marco se entra en una nueva era en la toma de decisiones globales sobre alimentación, agricultura y nutrición. Debemos referirnos a este marco de políticas más coherentes en todo el mundo para garantizar el derecho de las personas a los alimentos”.

El marco es un documento en cuya redacción participó la sociedad civil, que “pone el derecho humano a la alimentación en el centro de la política y reconoce el papel central de los pequeños agricultores, pescadores, artesanales pastores y pueblos indígenas en el logro de la seguridad alimentaria. También hace hincapié en el papel central de las mujeres como proveedoras de alimentos. “

CIDSE se congratula también de que el documento recoja el potencial que supone la agroecología para solucionar el problema del hambre, que está en el corazón de un nuevo documento emitido por la alianza a principios de octubre.

Sin embargo, no todo han sido alegrías. Maureen Jorand de la organización francesa miembro de CIDSE CCFD-Terre Solidaire, lamenta que la soberanía alimentaria no se hubiera incluido en el texto aprobado. “La soberanía alimentaria actualmente no está contemplada, pero la sociedad civil va a seguir luchando para lograr su reconocimiento”, dijo.  

“Los gobiernos y las organizaciones intergubernamentales deben ahora adoptar las disposiciones del marco y pasarlas del papel a la práctica. Por nuestra parte, vamos a utilizarlo para promover el derecho a la alimentación a nivel local, nacional e internacional”, dijo Henriques.

Lea la Declaración de los movimientos sociales y otras organizaciones de la sociedad civil sobre el Marco Estratégico Mundial del Comité de Seguridad Alimentaria Mundial (CSA)

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